MUSEE BASTER A RIOM
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MUSEE BASTER A RIOM
Etant originaire de la région, je fais un tour de temps en temps au musée Baster à Riom. Quand j'étais lycéen à Riom, Guy Baster faisait le tour de la ville avec sa Munch Mammouth et on était admiratifs devant l'énorme machine et le bonhomme non moins costaud ce qui m'a laissé l'impression par la suite que c'était quelqu'un qui ne faisait pas les choses à moitié.
Ma dernière visite au musée remontait à une huitaine d'années. Il y avait un peu d'italiennes mais sans plus. Or là, ça a carrément changé et les motos italiennes des années cinquante à quatre-vingts ont pris une belle place. Mais passons aux photos.
Celle-là, on la découvre dés l'entrée et on ne peut pas la rater.
Chic une motobi: 175 catria sport ou 200 sprite, en tout cas un bel exemplaire sportif de la firme de Pesaro. Derrière, on peut apercevoir un 125 Sport Special
Voilà une Motobi 175 Catria, petite machine cossue de la fin des fifties au début des sixties
Une Benelli 125 Leoncino, quatre temps à même bas-moteur que la deux temps mais ce haut moteur à la distribution par pignons en jette un maximum. Il paraît que la machine n'était pas performante mais qu'elle est belle!
Deux belles Ducati Mototrans espagnoles nous font de l'oeil: une 250 et une 350 Vento . Elles ont été produites longtemps après l'arrêt de production de leurs soeurs italiennes.
Que vois-je? Des Morini à moteur carré. Une 350, deux 250 mono et twin et une 125 H. Malheureusement, et c'est le problème de ce musée, le manque de place fait que beaucoup de motos sont entassées et qu'on ne peut les détailler
Les voici sous un autre angle avec une 125 Gitan deux temps, marque italienne devant nos Morini
Une 125 Mv Gtls du début des années soixante dix, magnifique petite machine avec à côté un 85 Ducati des années cinquante. Mais elles sont tellement serrées les unes contre les autres...
Un Corsarino Donna, c'est la première fois que j'en vois un dans un musée français.
Une 175 Morini avec des machines italiennes serrées comme des sardines derrière
Et il y a encore d'autres Morini, il y en a bien une dizaine dans le musée.
il y avait également beaucoup de très beaux cyclos italiens et autres.
Alors, évidemment, la partie motos anglaises n'était pas négligeable, en voici quelques exemplaires
Une Scott deux temps, on en voit rarement
Alors là, avec la Brough Superior, on est scotchés.
La Vincent n'est pas mal non plus
Voilà un bel alignement de magnifiques anglaises.
Il y a également de très belles motos françaises, allemandes, beaucoup d'exemplaires des ex pays communistes, des voiturettes, des scooters. Une magnifique collection que je vous invite à voir mais le manque d'espace fait que trop de machines sont sacrifiées. Vous ne serez pas bousculé par le monde si vous y allez en semaine, c'est dommage que peu de gens s'y intéressent et cela pose la question des générations qui devront prendre en charge ce patrimoine. En tout cas, voilà une visite incontournable si vous allez en Auvergne passer des vacances ou de passage tout simplement.
Ma dernière visite au musée remontait à une huitaine d'années. Il y avait un peu d'italiennes mais sans plus. Or là, ça a carrément changé et les motos italiennes des années cinquante à quatre-vingts ont pris une belle place. Mais passons aux photos.
Celle-là, on la découvre dés l'entrée et on ne peut pas la rater.
Chic une motobi: 175 catria sport ou 200 sprite, en tout cas un bel exemplaire sportif de la firme de Pesaro. Derrière, on peut apercevoir un 125 Sport Special
Voilà une Motobi 175 Catria, petite machine cossue de la fin des fifties au début des sixties
Une Benelli 125 Leoncino, quatre temps à même bas-moteur que la deux temps mais ce haut moteur à la distribution par pignons en jette un maximum. Il paraît que la machine n'était pas performante mais qu'elle est belle!
Deux belles Ducati Mototrans espagnoles nous font de l'oeil: une 250 et une 350 Vento . Elles ont été produites longtemps après l'arrêt de production de leurs soeurs italiennes.
Que vois-je? Des Morini à moteur carré. Une 350, deux 250 mono et twin et une 125 H. Malheureusement, et c'est le problème de ce musée, le manque de place fait que beaucoup de motos sont entassées et qu'on ne peut les détailler
Les voici sous un autre angle avec une 125 Gitan deux temps, marque italienne devant nos Morini
Une 125 Mv Gtls du début des années soixante dix, magnifique petite machine avec à côté un 85 Ducati des années cinquante. Mais elles sont tellement serrées les unes contre les autres...
Un Corsarino Donna, c'est la première fois que j'en vois un dans un musée français.
Une 175 Morini avec des machines italiennes serrées comme des sardines derrière
Et il y a encore d'autres Morini, il y en a bien une dizaine dans le musée.
il y avait également beaucoup de très beaux cyclos italiens et autres.
Alors, évidemment, la partie motos anglaises n'était pas négligeable, en voici quelques exemplaires
Une Scott deux temps, on en voit rarement
Alors là, avec la Brough Superior, on est scotchés.
La Vincent n'est pas mal non plus
Voilà un bel alignement de magnifiques anglaises.
Il y a également de très belles motos françaises, allemandes, beaucoup d'exemplaires des ex pays communistes, des voiturettes, des scooters. Une magnifique collection que je vous invite à voir mais le manque d'espace fait que trop de machines sont sacrifiées. Vous ne serez pas bousculé par le monde si vous y allez en semaine, c'est dommage que peu de gens s'y intéressent et cela pose la question des générations qui devront prendre en charge ce patrimoine. En tout cas, voilà une visite incontournable si vous allez en Auvergne passer des vacances ou de passage tout simplement.
christian- Messages : 711
Date d'inscription : 30/04/2011
Age : 63
jean-luc Bochet, momo, 123morini, LEBRUN, claude 61 et gérard-BOIS aiment ce message
Re: MUSEE BASTER A RIOM
Sur la photo avec les Morini a moteur carré, on se croirait chez La Goupille !
Super ce musée. Effectivement, elles sont serrées. Ca ne doit pas être simple de faire les poussières.
Super ce musée. Effectivement, elles sont serrées. Ca ne doit pas être simple de faire les poussières.
jean-luc Bochet et gérard-BOIS aiment ce message
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