Elle renait de son placard

Super merci GG,
deux choses me font sourire dans ce reportage.la 1° c est sa remarque" quand il dit que sur cette moto il y a encore des leçons à donner  au ingénieur actuel .La 2° au début il me semble que la poignée de gaz est bien à droite(normale me direz vous). Mais lors de l essais dans l atelier on dirait que la poignée de gaz est à GAUCHE(peut-être pour cela qu' il ne l on jamais commercialisée impossible de passer le contrôle technique dans ces conditions ).
Morinistement Lebrun:D

Ils n'ont pas inversé que la poignée de gaz pour les essais , mais aussi les carters ! Si ça se trouve elle roule en marche arrière

Oui Gégé et Franco Lambertini était présent surement pour les aider à quelques mises au point et faire renaître en lui la passion d'antan .

Bonjour ,

et dire que le surnom d'une Vincent était "plumber's nigtmare " à cause des tuyaux pour celle ci que pourrait on dire ?

Bon c'est une blague hein c'est un beau projet .

Christian , 123 .

Exercice de style intéressant, rien de plus.
En 1981 les turbos et leur gestion étaient encore au moyen âge.
Et encore plus pour ceux de petite taille.
Une période que j'ai bien connue.
Cette machine n'a guère dû rouler et il serait amusant de connaître le point de vue du ou des essayeurs.
Même les grands constructeurs n'ont pas insité alors que leurs moyens de développement étaient tout autres.
Quand on roulait en turbo à l'époque on ne rêvait que de moteur atmosphérique de forte cylindrée...pour que le couple soit là quand et comme on le voulait.
Sauf si on était addict des accélérations en ligne droite, bien entendu.

Cette moto appartient à l'histoire, elle mérite donc le respect à ce titre.
Mais il convient de ne pas la réécrire et de regretter un futur qu'il ne lui aurait jamais appartenu.

Bonjour à tous utilisateur de ce forum.
" il serait amusant de connaître le point de vue du ou des essayeurs". Le mieux placé pour répondre à cette futur question.C est de poser à M Lambertini en personne , la question, au rasso de Bologne de 2024.ET si j oublie:evil:  de lui poser j espère qu'un autre y pensera .
Et je dirai même plus :il se fera un grand plaisir d y répondre ...
A+
Morinistement
Lebrun

Bonne idée, Lebrun.
Nul doute que ceux qui seront à Bologne y penseront....
Quand je parlais de petits turbos, je pensais à ceux des Renault que comme certains le savent j'ai bien connus.
La Renault 5 turbo (1397 cc _ 160 ch) en 1980 avait un Garret T3, le plus petit disponible à l'époque.
En 1982 est lancée la Renault 6 Alpine turbo  (1397 cc _ 110 ch), toujours avec ce même T3 pour  une puissance bien plus modeste, mais il n'existe rien d'autre.
Il faudra attendre 1985 et la R5GT Turbo pour voir apparaitre un turbo plus petit, le T2, plus adapté à des débits plus modestes.
Et chez la concurrence c'était la même chose.

En Formule 1 la Renault(1500 V6)  a elle aussi débuté avec un seul turbo de grande taille.
Il a fallu attendre 1979 que KKK (Allemagne) propose de petits turbos pour enfin passer au bi-turbo, un très grand progrès en termes d'utilisation.
Mais c'était quand même des puissances de 600 à 800 chevaux, soit 300 à 400 par turbo.
Dons pas si petits que ça !
Il faut se rappeler que les turbos sont des composants développés initialement pour les avions avec moteur à pistons en remplacement des compresseurs volumétriques, puis pour les camions et les chars d'assaut.
Dons que de gros (???) moteurs.

Aujourd'hui ia situation est bien différente et la technologie des turbos à géométrie variable bien plus performante.
Pas impossible qu'il soit enfin possible de faire une moto turbo qui soit utilisable.
Mais il faut se souvenir que sur une voiture on recherche du couple alors qu'en moto, il n'en faut pas trop pour que la remise des gaz soit contrôlable.
Le montage de moteurs de voitures dans des motos n'a jamais été un grand succès.
En tout cas sur des machines censées être performantes.

Oui François, ça résume bien avec tes explications.
Pour avoir travailler moi même sur quelques voitures turbo plus modernes, je vois bien le challenge technique que les usines essayaient de relever. Il fallait composer avec les débuts de l'éléctronique.
Dans la vidéo, on voit le gars toucher au carbu.
Sur le schéma, les ingénieurs ont couplé le carbu a un injecteur juste avant le turbo, surement contrôlé par le boitier sur le guidon.
Interessant!

Sur ma dernière photo on peut voir les cales sous les cylindres pour décompresser le moteur.

Bonsoir ,

j'ai trouvé ça sur le forum MMR Anglais .

https://www.morini-riders-club.com/forum/viewtopic.php?f=42&t=6575


Christian , 123 .